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no høpeFORUM FANTASTIQUE · AVATARS MANGA · 200*320

La première chose que vous entendez est le bruit des vagues s'échouant à vos pieds. Vous ne savez plus qui vous êtes, vous ne savez pas où vous vous trouvez. Mais une chose est sûre, quelque chose ne tourne pas rond sur cette île. Qui êtes-vous ? Pourquoi êtes-vous ici ? Et qui sont ces gens qui vous entourent ? Essayez de trouver les réponses à vos interrogations sans perdre espoir dans No Høpe.Lire la suite

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" Alcina "
Alcina
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MessageSujet: Drifted [Antonio] Drifted [Antonio] EmptyLun 22 Nov - 23:20


T'as piraté mon âme Alors que je surfais sur la vague Et j'ai tout raté, je rame Alors que j't'avais dans ma madrague



Elle devrait le savoir, elle devrait pouvoir s’y faire, depuis le temps. Mais ça la prend toujours par surprise. Le soudain attachement éprouvé après l’adrénaline, le calme après la tempête, cette vague de tranquillité qu’on ressent après. A chaque fois, elle se retrouve le cul dans l’eau et l’air béat, elle voit 36 chandelles, et se sent complétement stupide. Elle qui offre ses louanges pour trois fois rien, elle se demande comment c’est encore possible pour elle de se faire avoir aussi facilement ? Et pourtant, à chaque fois, elle se fait ridiculement prendre a son propre jeu. Mais elle admettra, piteusement, que c’est vrai : elle n’est pas bien maligne. Non elle ne réfléchit pas tellement avant de faire ce qu’elle a envie de faire, et oui, il semble qu’à chaque fois elle est au pied du mur en réalisant que ses actions ont des conséquences. Comme une ado qui veut jouer a la grande. Mais ce n’est pas vraiment une métaphore. Plus maintenant.

Antonio n’a pas donné de nouvelles depuis trois jours. Pas vraiment qu’elle soit surprise, elle ne n’attend pas a ce que l’attachement soit réciproque, il ne l’est jamais vraiment. Elle n’est pas là pour être aimée,  plutôt à consommer, appréciée, comme un dessert ou un paquet de chips. Jusqu’à la prochaine fois, où elle sera encore là. Parce qu’elle n’a pas assez d’égo, ou même l’envie, de dire non. C’est comme avec Mr La Police, après lequel elle court comme une tarée pour des miettes d’affection, et qui lui rend bien. C’est juste un gentil jeu après tout, et même si elle gagne ces petites batailles entre eux, c’est toujours elle qui perd à la fin. Elle perd la raison, elle perd le sommeil, elle perd sa faible capacité à être fonctionnelle dès qu’elle l'aperçoit. Et avec lui aussi, elle s’est retrouvé comme deux ronds de flan, à se rendre compte qu’elle s’est faite avoir, toute seule, pas ses propres sottises. Mais la brume a raison : elle n’est pas très maligne. Mais ce n'est pas grave. Un jour tout ça sera derrière elle, quand elle se ferra avaler toute entière dans l’enfer blanc. Elle attend sagement ce moment, en bouffant les miettes d’affection qu’on lui donne, tout en fournissant le dessert.

Il pleut sur l’île, et la jeune femme n’a pas le coeur a aller chasser l’attention des autres. Clope volée au bec, bien à l'abri, assise sous un parasol abandonné ici, elle regarde les gouttes rebondir dans les vagues calmes de la mer. Aucun corps d’un énième infortuné ne s’échappe de l’infinité bleu, quoique grisâtre en cette fin de journée sinistre. Tout est tranquille, étrangement trop tranquille pour qu’elle reste ici à rien faire. Son pied s’agite un peu par ailleurs, comme si prêt à aller bondir dans l’eau. Mais elle n’est pas d’humeur à faire tranquillement des brasses. Elle n’est pas d’humeur à grand chose. Si elle saute dans le bain, ce sera pour le pire.

Elle secoue la tête, un sourire fatigué aux lèvres. Elle est fatiguée d'elle-même. “Ma pauvre fille, t’es vraiment un cas.” Murmure-t-elle à sa propre attention. Un rare moment de lucidité dans le désastre de ses pensées. Mais ça ne va pas durer. D’une façon ou d’une autre, la lucidité ne dure jamais.
Et cette fois-ci, elle est brisée par des pas dans le sable humide qui se rapprochent dangereusement. Qui aurait envie de piquer une tête en pleine pluie, se dit-elle, clignant des yeux avec curiosité, et chassant d’un geste les cendres de sa cigarette.

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MessageSujet: Re: Drifted [Antonio] Drifted [Antonio] EmptyJeu 16 Déc - 7:01
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Loin des terribles pensées qu'entretenait Alcina, Antonio, lui, était aux anges. Enfin, cette nuit là il avait été aux anges. Si les anges étaient synonymes de sensualité en tout cas, il avait été aux anges. Une folle nuit d'amour torride comme on en fait plus, beaucoup de tendresse et sa meilleure amie devenue son amante...ils n'avaient pas pu s'arrêter de la soirée et étaient tombés raide morts, épuisés, étourdis par ce nouvel aspect de la relation. Antonio s'était levé de bonne heure du lit d'Alcina et avait décidé d'aller chercher  des croissants pour une petite touche de douceur supplémentaire. Il pensait déjà à aller se lover dans les draps encore chauds quand Antonio se rappela soudain qu'il devait se préparer pour participer à la tournée de récupération des nouveaux arrivants.

On avait besoin de lui pour jouer de la musique, continuellement, sur l'île, afin d'attirer et guider les arrivants vers le groupe qui viendrait les récupérer. Un job ingrat, pas très amusant, mais qui rémunérait bien. Et qui était utile. Pas le temps d'aller retrouver Alcina. Simplement, Antonio déposa les croissants devant sa chambre avec un petit mot d'excuse expliquant la situation, et de toute façon il se rendit compte bêtement qu'il n'avait même pas la clef pour retourner dans la chambre. Il n'avait fallu que d'un agent d'entretien passant une mauvaise journée pour considérer les croissants et le mot d'amour comme une poubelle à récupérer. Les petites attentions disparurent au compost cette journée là.

Antonio avait ainsi passé trois jours à jouer de la musique et marcher sur l'île, campant avec le groupe de gardes qui était en charge d'escorter les nouveaux insulaires. Pas de contact avec l'extérieur du groupe pendant cette mission : on voulait s'assurer que les arrivants de l'île n'étaient pas des personnes dangereuses avant de les introduire à la mairie, puis dans la ville. L'espagnol n'avait fait que penser à Alcina et pensait au moment où ils pourraient se retrouver, parler de cette nouvelle face de leur relation, s'enlacer....

Il revint au bout de trois jours. Antonio aurait pu être fatigué d'avoir tant marché mais il bondissait de joie à l'idée de revoir Alcina. Il se rendit chez le fleuriste pour trouver le plus beau bouquet de fleurs et se rendit à la chambre d'Alcina où personne ne lui répondit. Après avoir demandé à plusieurs personnes qui connaissaient la jeune femme, Antonio apprit qu'elle s'était rendue vers la plage et il entreprit de la trouver, élégant, parfumé, et bouquet de roses à la main qui se débraillait sous la pluie.

C'est alors qu'il remarqua soudain une silhouette assise dans le sable, Antonio se dirigea vers elle rapidement, le coeur battant la chamade.

Antonio : Alcina !!

Il arriva à sa hauteur et lui offrit un grand sourire.

Antonio : Tu m'as tant manqué !!


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MessageSujet: Re: Drifted [Antonio] Drifted [Antonio] EmptyDim 19 Déc - 4:17


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Elle écrase distraitement sa cigarette sous sa grosse chaussure, pas vraiment très apprétée avec son jean troué, et son hoodie dans lequel elle nage, la capuche remontée sur ses cheveux mal coupés. Si la curiosité la forcée a regarder qui approcher, elle sursaute et se redresse immédiatement quand elle reconnait le sourire d’Antonio. Qui avance vers elle, de surcroît. Alcina ne préparait jamais ses journées, toujours prête à se cogner contre l’imprévu, de la façon la plus violente possible. Et si partager la nuit avec l’hispanique fut un uppercut, le voir appeler son nom au loin, courant vers sa direction fut une défaite par KO, lui faisant perdre une demi douzaine de dents au passage.

Elle l’entend à peine quand elle voit les roses trempées par la pluie devant son beau costume. Alcina, elle, ressemble à une truite hors de l’eau, avec ses yeux révulsés. Elle se souvenait de leur nuit ensemble avec une précision déconcertante. Tous les sons qu’elle a pu lui tirer, le goût de sa peau, la douceur de ses lèvres sur son corps, ses magnifiques mains de musicien qui l’ont découverts avec tendresse et admiration. Mais tout aussi violents les souvenirs pouvaient être, rien ne l’avait préparé à revoir ce putain de sourire. Ce sourire magnifique. Ce sourire qui avait été planté dans sa rétine pendant trois jours interminables et pourtant le souvenir faisait pâle copie à ce qu’elle pouvait voir, et la pluie semblait stopper pour le laisser irradier.

Bordel de merde.
Est-ce que c’était possible d’être aussi beau ?
Est-ce que c’était possible que quelque chose de pareil se produise ?

Il est si proche d’elle, alors qu’il lui tend le bouquet de roses agressées par la pluie, et elle peut sentir son odeur de plein fouet. La même odeur dont elle s’était repue pendant leur nuit d’amour. Elle crevait d’envie de balancer le bouquet au loin, et dans un acte de pure indécence, lui redonner les clés de sa propre intimité, ici, maintenant, sous la pluie, et tant pis.
Mais elle rigole, avec la plus grande gêne, en se rendant compte que ses joues sont en feu.

“Antonio…” Elle déglutit, ne sachant pas quoi dire, elle qui avait une verve du tonnerre et toujours le mot pour rebondir. L’herbe coupée sous les pieds, elle le regarde avec incrédulité, par ailleurs elle regarde derrière son épaule: sait-on jamais si il y avait Aphrodite en personne qui est sortie des eaux et à laquelle il présente un bouquet de rose. Elle ne dit rien de plus pendant quelques secondes avant de maladroitement se reprendre, sonnant comme une adolescente plutôt que la femme fatale qui lui a volontiers retiré ceinture et chemise voila quelques jours.

“Tu… -arhem- tu es parti juste après et… J’veux dire j’comprends hein, moi aussi j’aimerai pas me réveiller à côté de moi un matin… quel cauchemar ! ” Bref rire gêné aux petits reniflements porcins. “Mais euh… j’suis contente que tu sois là euh... “ Elle le regarde dans les yeux,  se machouille un peu la lèvre inférieure. Et puis elle soupire en secouant la tête, totalement vaincue, aux joues ridiculement carmins. “Tu m’as manqué Tonio… Mais j'comprends hein ! Vraiment, j'comprends si.. 'fin y'a d'autres gens sur l'île, et j'suis pas vraiment un prix.”

Elle s’éclaircit la gorge, retirant ses mèches mouillées de devant ses yeux, tout les deux plantées sous la pluie. Ses orbites se dirigent sur les roses où rebondissent les gouttes d'eau.
“Elles sont superbes…” Commente doucement la jeune fille, complètement confuse, ne sachant pas vraiment quoi faire dans ce genre de situation. “... Elles sont pour qui ?”
Et puis finalement, la question fatidique, qu’elle ose à peine formuler du bout des lèvres, tellement que cela lui semble aberrant.
“... Tu es venu me chercher... ?”

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MessageSujet: Re: Drifted [Antonio] Drifted [Antonio] EmptyLun 3 Jan - 17:33
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Antonio regarde Alcina, lui avec son petit air de chien battu et mouillé sous la pluie, elle avec un air similaire de petit chiot mais qui semblait avoir été torturé pendant plusieurs jours. Elle est trempée, depuis combien de temps attend-elle sous la pluie ? Quelque chose ne va pas, et aussi ingénu que puisse être Antonio, il sent bien que l'atmosphère a changé depuis leur dernière rencontre qui avait semblé être si douce. A t-il fait quelque chose de mal ? Ou bien a t-elle des problèmes ? Quelqu'un est mort ? Son coeur se serre dans sa poitrine en la voyant aussi dévastée mais il ne comprend pas.

Alcina :“Antonio…”

Il n'ose rien dire, il la regarde avec un air hébété, d'incompréhension, comme s'il voyait une tornade s'abattre sur lui et qu'il ne pouvait qu'assister, impuissant, aux conséquences et aux inévitables dégats. Alcina paraît gênée de lui parler, elle regarde autour comme si elle avait peur de voir apparaître une tierce personne. Antonio regarde lui aussi autour d'eux, comme s'il s'attendait à voir une réponse autour de lui, que quelqu'un allait apparaître, lui indiquer les clefs pour comprendre Alcina.

Alcina Tu… -arhem- tu es parti juste après et… J’veux dire j’comprends hein, moi aussi j’aimerai pas me réveiller à côté de moi un matin… quel cauchemar !

Antonio hausse les sourcils, pensant comprendre ce que la jeune femme essaye de lui dire. Quel idiot ! Il avait été si béat, si heureux du simple souvenir de cette nuit passée avec elle, qu'il n'avait pas pensé qu'elle se serait sentie triste de ne pas le trouver à ses côtés ! Il pensait que la lettre aurait suffit à la rassurer mais il aurait dû être plus attentif. Quelle mission idiote, décidément elle était mal tombée. Antonio attendait qu'elle finisse, lui laissant la place et le temps de s'exprimer, de peur de ne pas tout comprendre.

Alcina :  Mais euh… j’suis contente que tu sois là euh... “Tu m’as manqué Tonio… Mais j'comprends hein ! Vraiment, j'comprends si.. 'fin y'a d'autres gens sur l'île, et j'suis pas vraiment un prix.

Cette fois Antonio n'était plus sûr de comprendre et commençait à penser que c'était la façon d'Alcina de lui dire que c'était fini entre eux. Mais il n'en était pas sûr, à vrai dire à l'écouter il n'était sûr de rien. Il sentit son coeur lui faire mal dans sa poitrine.

Antonio : ...que..quoi ?

Elle semblait sur le point de pleurer.

Antonio : Hey, hey, Al !! Viens là !!!
L'espagnol écarte les bras, essayant de l'attraper contre lui, sa peau touche la sienne et le garçon se rend compte qu'elle est brûlante malgré la pluie qui s'abat sur elle.

Antonio : Qu'est ce que tu dis ?? Tu...veux dire que tu préfèrerais...voir d'autres gens sur l'île ? Qu'est ce qui t'arrive ? On a passé une bonne nuit non ?? Tu...tu n'as pas aimé ? D: je t'ai fait mal ??? Oh non !

Antonio parlait fort, précipitamment, à vrai dire l'idée l'horrifiait, mais Alcina avait l'air plus triste qu'autre chose.

Alcina : Elles sont superbes…Elles sont pour qui ? “... Tu es venu me chercher... ?

Elle avait pointé le doigt vers le bouquet de fleurs et avait prononcé la dernière phrase si bas qu'il eut du mal à l'entendre, les mots se perdant sous le bruit de la pluie qui s'abattait dans la mer.

Antonio : Mais oui je suis venu te chercher!! Elles sont pour toi ces roses, je suis passé chez toi mais tu n'y étais pas, ça fait deux heures que je te cherche.

Il tente un sourire et lui tend le bouquet.

Antonio : Si tu ne veux plus qu'on....remette ça, bien sûr je...je euh je suis désolé, peut-être que c'était trop précipité pour toi, ou que ce n'était pas ce que tu voulais vraiment... j'aurais dû le savoir, oh Alcina, pardonne moi.....je suis stupide, je pensais que tout allait bien...et que lorsque tu lirais la lettre tu serais rassurée que je ne sois pas là...c'est tellement mal tombé...tu dois être en colère contre moi haha

Les larmes commençaient à lui monter aux yeux et sa voix à se gorger d'émotions, il s'était détaché un peu d'elle et passait rapidement sa main sur sa joue, pas vraiment par pudeur mais surtout car il commençait à ne plus y voir très clair.

Antonio : Si tu ne veux plus.. qu'on se fréquente....je vais l'accepter, même...même si j'ai fait que penser à toi depuis ce moment tu sais...excuse moi, je ne pensais pas que je te ferais du mal


C'est alors que Antonio pose un genou sur le sable, en face d'Alcina, et lève la tête, le visage aspergé par la pluie, la chemise lui collant à la peau. Il sourit à cette personne merveilleuse qui le fait rire, sourire, qu'il ne comprend pas vraiment mais avec qui il veut passer tout son temps sur l'île...pour apprendre à la comprendre. Il a l'air bête comme ça, comme une demande à mariage, moitié romantique car sous la pluie, moitié misérable car décidément il fait gris.

Antonio : Alcina écoute je sais que tu es en colère...mais si je ne le dis pas je pense que je vais passer à côté de la chance de ma vie, je....j'ai senti des choses cette nuit....j'ai tant souffert de devoir partir mais...je veux me réveiller à côté de toi...demain matin, après demain matin....

Antonio: Si..tu le veux aussi?

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MessageSujet: Re: Drifted [Antonio] Drifted [Antonio] EmptyVen 7 Jan - 20:23


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Y'a un hic quelque part, un truc qui passe pas. Il est pas très difficile de voir que sur le visage expressif de son amant régnait la même incompréhension que dans sa tête trop vide. Antonio n'est pas perplexe, il est déboussolé, voire même paniqué, et immédiatement Alcina regrette. Elle regrette tout ce qu'elle a pu dire ou même pensé, pour qu'en lieu et place du sourire magnifique de l'Espagnol, règne désormais de l'angoisse. Alcina se laisse enlacer sans vraiment comprendre alors qu'il se répand en questions et excuses. La jeune femme à du mal à s'empêcher de fermer les yeux quand elle sent sa chaleur familière contre son petit corps trempé sur la pluie. Mais elle réagit immédiatement quand il parle de douleur.

"Non!" Fit elle en relevant la tête comme un diable qui sort de sa boîte, et elle essaye d'en placer une pour le rassurer. Bien sûr que non il ne lui a pas fait mal. Damn,  elle était persuadée qu'il ne pourrait pas lui faire du mal, même en le voulant! Mais il lui mettait le bouquet dans les mains en continuant à paniquer, lui expliquant avec une émotion palpable que oui, c'est pour elle. Oui, il l'a cherché. Il l'a cherché partout.

Alcina se retrouve avec le bouquet dans les bras, les yeux exorbités et toute logique qui s'est barré de son esprit en prenant les meubles avec elle. Elle ne comprend rien. Qui la cherche pendant deux heures complètes, pourquoi faire, qu'est-ce qui s'est passé, dans quelle étagère ?  Jamais elle n'a été plus confuse, mais c'est finalement pas bien  lourd, quand on a aussi peu de souvenir…

"Une lettre ?..."

Quelle lettre ? Où il y avait une lettre ? Elle n'a pas trouvé de lettre, nul part dans son joyeux capharnaüm organisé. Elle aurait bien évidemment lu si elle avait trouvé quoique ce soit, enfin elle aurait exigé à Arthur qu'il lui lise. Mais à la place elle n'a trouvé que des draps froids. Elle se souvenait dans son sommeil, vaguement de son départ silencieux… si seulement. Si seulement elle avait pu se réveiller, pour lui dire tout ce qu'elle avait ressenti dans ses bras pendant toutes ses longues heures… il ne serait pas dans cet état. Le fait de le voir en détresse, les larmes aux yeux lui lance immédiatement des horribles décharges dans le palpitant. Elle le fait pleurer ! Elle n'a que du mépris pour sa pathétique personne, mais le simple fait de voir ça la fait sentir affreusement coupable et le mépris évolue doucement en colère brute. Quelle conne!  Comment peut-elle se retrouver à blesser à personne la plus adorable de son entourage sans même faire exprès.

"Tonio! pitié…" murmure t-elle pathétiquement, pour essayer de s'expliquer. Mais il a déjà un genou dans le sable et elle ne peut que rougir comme une écrevisse sans comprendre ce qui est en train de se passer. Ou alors elle a peur de comprendre, qui sait à ce stade ? Il sourit sous la pluie, en lui vidant ses émotions brutes. Et elle … elle est plantée là, les yeux fixés sur son sourire alors que ses joues sont brûlantes et que sa gorge est sèche. C'est en vérité un euphémisme : son corps entier brûle d'un feu qu'elle ne connaît pas. Son estomac la chatouille d'une façon étrangement plaisante, même si le voir dans cet état lui brisait le coeur. Elle se demanda, vaguement, si auparavant ça lui était déjà arrivé. Quelqu'un a genou devant elle qui lui jette des louanges. Pour elle, ça semble si nouveau, presque alien.

Elle soupire en s'avançant vers lui, elle même très émue, passant une tendre main sur sa joue, posant son front sur le sien, faisant fi de la pluie qui ne cesse de les noyer. " J'ai pas vu de lettre…" murmure t-elle sincèrement désolée et se sentant si coupable. "Pardon mon Tonio… j'l'ai pas trouvé. Si j''avais vu, évidemment que je t'aurais attendu! Pardon… pardon…"

Ils ont l'air brillants, tout les deux, piteusement triste sous une pluie qui a l'air de se payer leur tête. Mais Alcina n'a pas beaucoup de fierté, alors elle continue, s'approchant de lui, lui parlant le plus tendrement possible. "Je suis pas en colère, je peux pas être en colère après toi! Pitié sois pas triste… pas à cause de moi…  C est moi qui a été stupide, pas toi! Tu avais le droit de partir, j'étais… j'étais triste et pathétique parce que… moi aussi j'ai ressenti des choses cette nuit."

Elle n'imaginait pas pouvoir être plus cramoisie, et pourtant. Elle n'était jamais gênée dans une chance à coucher mais ce dialogue, mettre ses sentiments à nu, quoiqu'ils étaient, c'était absolument pas ce dont elle était confortable. "C'est moi qui me suis jeté sur toi, cette nuit là,  comment j'aurai pu ne pas être prête ? " elle laisse échapper un bref rire humide. "C'est ma faute, c'est pas d'la tienne… tu as été parfait Antonio. T'as été tendre, sensuel et tellement gentil… moi aussi j'ai pensé qu'à toi depuis cette nuit. Je me sentais stupide parce que je pensais pas que c'était pas réciproque mais…" Elle n'arrive même pas à finir sa phrase. Ça lui semble tellement absurde. Réciproque.  Oui Alcina, quelqu'un a pensé à toi, pendant trois long jours. Même après avoir exploré ton corps calleux et cicatrisé…

"Y'a d'autres personnes oui, c'est vrai… surtout une, les autres s'en branlent de ma sale tronche. Mais… " Elle renifle en le serrant contre elle, ses petits bras musclés autour de son délicat cou d'artistes. "Moi aussi je veux me réveiller avec toi demain...et encore après. Et encore après. Pardon Tonio… Pardon je…" elle déglutit avec peine. "J'veux pas te perdre… reste avec moi… s'il te plait.. "

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MessageSujet: Re: Drifted [Antonio] Drifted [Antonio] EmptyDim 30 Jan - 13:35
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Ce qui avait l'air si froid devient soudainement si chaud. Alcina lui fait poser son front contre le sien, alors que sa petite main se glisse sur sa joue. Il semble à l'espagnol que l'atmosphère s'est réchauffée d'un coup, comme une petite bulle brûlante entre leurs deux visages, alors que les gouttes d'eau glaciales continuent de tomber du ciel. Il se sent bien comme ça, il avait pensé la perdre il y a quelques minutes plus tôt à voir son regard meurtri, et détaché, et son attitude physique qui semblait vouloir lui faire comprendre que c'était fini entre eux. A présent il retrouve la douce chaleur et la gestuelle qui l'a charmé depuis le début qu'il la connaît. Il ferme les yeux, profitant de ce moment de tendresse dans un monde qui avait été tant cruel avec eux.

Alcina  : J'ai pas vu de lettre…

Tonio : oh.

Antonio a ouvert les yeux, et fait une petite moue avec sa bouche avant de lui offrir un grand sourire.

Tonio : oups ! hahaha

Alcina : Pardon mon Tonio… j'l'ai pas trouvé. Si j''avais vu, évidemment que je t'aurais attendu! Pardon… pardon…

Tonio : hey hey hey, faut pas que tu t'angoisses comme ça ! c'est de la faute de personne <3


Antonio a un sourire léger, plutôt tout à fait détendu par rapport à Alcina dont il croit voir les yeux briller de larmes. Il la trouve si mignonne et a déjà oublié l'incident de la lettre, pensant plutôt à vouloir couvrir de baisers ses joues humides. La scène avait des airs de télénovela, on aurait pu entendre les cordes d'une guitare dramatique jouer en arrière plan.

Alcina :  Je suis pas en colère, je peux pas être en colère après toi! Pitié sois pas triste… pas à cause de moi…  C est moi qui a été stupide, pas toi! Tu avais le droit de partir, j'étais… j'étais triste et pathétique parce que… moi aussi j'ai ressenti des choses cette nuit.

Antonio : Hey....si je peux te demander quelque chose, je veux bien écouter les détails des choses que tu as ressenti cette nuit.


Il rit, content de sa petite blague, niais et léger.

Antonio passe un doigt sur la joue d'Alcina, car elle commence à être vraiment humide, et Antonio sourit doucement, la laissant évacuer ses angoisses. Pourquoi était-elle si angoissée ? Qu'avait-elle pu vivre pour avoir aussi peur de l'abandon ? Certes, le quiproquo entre eux à cause de cette fameuse lettre avait de quoi donner de bonnes raisons de paniquer, mais...toute cette affaire semblait ramener à la surface des expériences, des souvenirs d'une autre vie, peut-être traumatisants ? Qu'avait-elle vécu pour être aussi triste, avoir eu aussi peur....elle ne pouvait pas lui en parler. Ou bien était-ce tout simplement...une raison beaucoup plus simple, un sentiment d'affection qu'Antonio n'avait pas soupçonné ? A cette pensée son coeur manqua un battement.

Alcina : C'est moi qui me suis jeté sur toi, cette nuit là,  comment j'aurai pu ne pas être prête ? " elle laisse échapper un bref rire humide. "C'est ma faute, c'est pas d'la tienne… tu as été parfait Antonio. T'as été tendre, sensuel et tellement gentil… moi aussi j'ai pensé qu'à toi depuis cette nuit. Je me sentais stupide parce que je pensais pas que c'était pas réciproque mais…

Alcina : Y'a d'autres personnes oui, c'est vrai… surtout une, les autres s'en branlent de ma sale tronche. Mais… Moi aussi je veux me réveiller avec toi demain...et encore après. Et encore après. Pardon Tonio… Pardon je…" elle déglutit avec peine. "J'veux pas te perdre… reste avec moi… s'il te plait..



Antonio : Alcina !! Je suis là !!
A ces mots il l'entoure avec ses bras, pour la réchauffer, pour lui faire sentir sa présence. Ta sale tronche me plaît assez je dois dire, et aussi ta bonne humeur, et tes sourires... et même ton amour pour la brume, même si c'est bizarre c'est rigolo...Pourquoi je resterai pas avec toi. Nouveau sourire léger Enfin, j'aurais dû mettre la lettre mieux en évidence, je t'ai fait si peur ! Oh Alcina.

Il resserre son étreinte et à ces mots pose sa bouche au coin de ses lèvres, couvrant son visage bouffi par les larmes de tendres et passionnés baisers.

Antonio : Hey....tu as parlé de te réveiller avec moi...demain matin ?

A ces mots il la regarde, posant sa main autour de la taille de la jeune femme, l'air idiot quand il plaisantait comme ça, pas vraiment traumatisé par l'évènement pour sa part, un homme simple avec des désirs simples. Mais il y avait quelque chose qu'il n'avait pas ressenti avec autant d'intensité auparavant, il la regarde intensément, et avec la voix un peu nouée murmure.

Antonio : je veux pas te perdre non plus.... Tu comprends ?

Il lui sourit, espérant qu'elle comprenne.

Antonio: ... Tu veux qu'on aille se mettre à l'abri ? Tu es plutôt sexy comme ça toute mouillée mais bon, attraper froid c'est moins sexy !

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MessageSujet: Re: Drifted [Antonio] Drifted [Antonio] EmptyMer 23 Fév - 4:31


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Shelter from the rain
Something for the hunger And something for the pain



Elle se répand comme un pauvre tapis mouillé à ses pieds, alors que son visage a retrouvé cette expression ingénue et sereine. Il semble tellement heureux d’être là, et elle continue de vomir ses entrailles devant lui, parce que ça la dépense. Jamais Alcina n’aurait imaginé avoir un pouvoir pareil. Juste faire disparaître les nuages dans les yeux de quelqu’un avec quelques mots pathétiquement articulés. Quand Antonio la serre contre lui, elle s’accroche à sa chemise trempée avec une détermination qu’elle ne connaissait pas, nez collé sur le tissu suintant la pluie. Elle n’en a visiblement pas grand chose à faire, tant qu’elle peut se persuader qu’il n’est plus triste. Plus avec les larmes aux yeux, ou avec cette boule dans la gorge en essayant de parler.
Qu’elle peut se persuader qu’il ne partira pas. Pas maintenant, pas comme ça.

Elle sent ses lèvres contre le coin des siennes et sa main sur sa hanche, et si la pluie continue de pleuvoir, elle n’en a plus grand chose à cirer, si ce fut le cas à un moment. Alcina se contente d’être là, haletante, après sa dernière supplique, ridicule, le visage dans une couleur bizarre entre le bleu et le cramoisie, et totalement à sa merci.  Elle ne sait pas vraiment quelle magie noire peut pratiquer l’hispanique pour pouvoir la calmer avec juste quelques baisers sur son visage ingrats. Il est tel un magnifique empereur miséricordieux embrassant un piteux lépreux que personne n’ose approcher.

“Ouais, j’ai dit ça.” Elle a un bref rire humide quand il parle de sa sale tête. Il la fait rire, il est tellement gentil, même quand il lui ment. Elle goberait n’importe quoi tant qu’on lui donne un semblant de tendresse. Et Antonio la noie dedans. C’est une tornade d’émotion à laquelle elle n'a même pas été foutue de se défendre un seul instant. Envolée, partie, elle s’est jeté dedans a bras ouverts, sans même y réfléchir une seconde. Comme quand la Brume lui promet de venir la chercher. Elle y croit, pauvre d’elle. Elle y croit parce qu’elle n’a que ça pour la faire tenir sur ses petites jambes. Alors elle hocha frénétiquement la tête quand il lui demande, la voix coupée, si elle le comprend. La réponse est pourtant : pas vraiment. Antonio a basiquement juste à se pencher pour ramasser les âmes énamourées qui lui offriraient bien plus en quelques heures ce qu’elle peut lui offrir dans une vie entière. Pourquoi il perdait son temps avec elle, juste après une seule nuit, la dépasse complètement. Mais ça le fait sourire, alors elle hoche la tête. Et aussi, ça le fera rester avec elle.

Sa dernière phrase fait exploser sa bulle de savon et elle frissonne un peu avec un bref rire reniflé, en essuyant grossièrement ses yeux aussi mouillés que le reste. “Oh la vache, ouais ta raison! On aura pas l’air malin!” Pas qu’ils aient spécialement l’air brillants le reste du temps, pour être d’une honnêteté transparente.

Elle lui saisit donc la main fissa, pour le conduire dans son petit temple dépareillé de l'hôtel. Une scène qui ressemble trait pour trait à la dernière qu’ils ont passée ensemble, avec beaucoup moins de rires alcoolisés et beaucoup plus d’humidité.

Sa chambre est toujours aussi bizarrement ordonnée, dans une logique qui n’appartient visiblement qu'à elle, ou elle trouve visiblement des serviettes de toilettes au fond d’une étagère, à côté de livres remplis d’image qu’elle a trouvé de ci de là. Elle est sur le point d’en donner une à Antonio quand elle se met à éternuer bruyamment, un son tout sauf féminin.
"Ça va pas suffire.” Commente-t-elle en sautant un peu pour couvrir les cheveux humides de son amant avec une de ses serviettes, et une affection particulière. Geste qui se termine par un furtif baiser, comme si elle avait besoin de s’assurer qu'elle n'était pas totalement en train de devenir barge.
“On est vraiment trempés comme des soupes… je prends vraiment les endroits les plus nuls pour me cacher, si j’avais su tu m’aurais retrouvé au bar!” Elle ne plaisante qu'à moitié, avant de retirer nonchalamment son hoodie trempé.

“J’vais prendre un bain, sinon j’vais -vraiment- finir enrhumée. Et comme t’dis, c’est pas sexy.” Soutien gorge dehors, elle s’attaque à retirer ceinture et pantalon. Pas vraiment son attirail de base quand elle n’est pas hors expédition. Pas elle qui adore se pomponner et courir après l’illusion d’une beauté qu’elle aura jamais. D’ailleurs, elle ne met pas spécialement de précipitation ou même de sensualité quand elle se débarrasse de ses fripes mouillées. Elle a plutôt l’air de vouloir en finir au plus vite, pour pouvoir profiter des quelques instants avec lui.

Et ça lui prend d’un seul coup : Merde. On fait quoi déjà dans ce genre de situation ? Quand on a complètement vidé son ego devant quelqu’un, jusqu'à se mettre à chialer pour qu’il reste. On commence par quoi, on doit dire quoi, on doit -faire- quoi. Alcina n’a même pas eu le temps d’y réfléchir qu’elle était déjà en train de retirer ses vêtements, avec le peu de pudeur qu’elle a. Et pourtant, c’est à ce moment, enfin, que ses joues commencent à s'empourprer. Quand il s’agit de passer directement aux choses sérieuses, elle n’est jamais timide ni farouche. Mais là, maintenant, elle est complètement prise au dépourvue.
Alors elle dit la première chose qui lui passe par la tête.

“Tu… euh, tu… ‘fin tu veux m’rejoindre ?”

ANTONIO & ALCINA
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